Les marchés actions ont remarquablement bien résisté à la hausse des taux d’intérêt par les banques centrales. La bifurcation entre le High Yield d’un côté et les actions qui résistent par ailleurs est en grande partie due au «miracle de l’Intelligence Artificielle» et à l’optimisme croissant concernant l’économie.
Nous observons une certaine prudence compte tenu du fait que le cycle est encore fragile et que les risques (géo)politique persistent, que le sentiment et le positionnement des investisseurs sont orientés à la hausse et que la volatilité des actifs risqués est en baisse.
Nous sous-pondérons légèrement les actions et les obligations d’entreprise High Yield, mais nous favorisons les obligations d’entreprise Investment Grade plus sûres et nous conservons une surpondération tactique sur les liquidités.