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Fiscalité Immobilière

Revenus fonciers : bien choisir son régime fiscal

8
Dec
2023
Pour l'imposition des loyers, il est plus avantageux d'opter pour le régime réel si de gros travaux ont été effectués. Mais attention, les réfections engagées ne sont pas toutes admises en déduction.

Capital


Le prélèvement à la source des impôts fonciers, via un système particulier d’acomptes automatiques, ne change strictement rien à l’affaire : au printemps de chaque année, vous devez déclarer vos recettes définitives à l’administration fiscale, qui procède aux régularisations qui s’imposent dans les mois qui suivent.


Par défaut, les loyers sont soumis au régime fiscal dit «microfoncier», mais il est possible d’opter sur sa déclaration pour le régime réel, certes plus complexe à mettre en place, mais beaucoup plus avantageux si vous supportez de lourdes charges, et notamment en cas de gros travaux réalisés.

Recettes locatives


N’omettez pas les arriérés de loyers perçus et les indemnités d’assurance. Exception faite des loyers issus de biens meublés, déclarables dans la catégorie des bénéfices industriels et commerciaux (BIC), toutes les recettes locatives encaissées au cours de l’année passée, qu’elles soient issues de logements vides, de parkings, de SCPI, de murs de bureaux ou de commerces, sont à déclarer dans la classique catégorie des revenus fonciers. Il s’agit bien sûr des loyers nets, déduction faite des charges.

La suite sur capital.fr

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